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dimanche 22 novembre 2015

Concession Complaisance Hiérarchie dans le couple et divorce

Concession Complaisance 
Hiérarchie dans le couple et divorce


Que nous enseignent la Torah, Yehoshoua et les Apôtres sur la
hiérarchie dans le couple et sur une vie sans concession ni complaisance au sein de sa famille en ce qui concerne ce qui est condamné ou interdit dans la Torah ?

Nous allons le voir ici en ces temps de fêtes païennes où certains trouvent des excuses pour plaire à leur entourage familial au détriment de ce que leur dit Elohim dans sa Torah quand d'autres se battent et ne fléchissent pas les genoux face aux pressions de l'entourage même s'ils continuent à aimer leur famille et à leur prêcher la Vérité avec amour mais leur amour pour Elohim passant avant celui de leur famille, ils ont choisi la part qui ne leur sera pas ôté. 

Certains osent prétendre qu'il n'est pas grave de participer au repas de Noël avec le reste de la famille ou avec des amis, repas de Noël qui on le sait est à l'origine un repas fait en l'honneur de la naissance de thammuz et de mithra (divinités païennes) fête du solstice d'hiver, déguisé en anniversaire de naissance de Yéhoshoua quand ils y croient, et tout cela pour ne pas vexer leur entourage ou même certains rétorquent que même s' ils connaissent la vérité sur Noël, ils peuvent continuer d'être à cette même table car c'est une solution pour leur partager la Torah. 

Dans ce cas, on peut légitimement penser, à quand leur prochain repas d'halloween avec leur famille ou leurs amis s'ils le célèbrent ou bien un repas du ramadan fait pour le faux dieu de l'islam ou pourquoi pas leur prochain repas hindu avec tous leurs faux dieux ? Ect...

Attention, je ne pas parle pas d'une simple invitation pour un simple dinner, je ne dis pas que nous ne pouvons pas manger avec des non-croyants pour leur parler de la Torah et de Yehoshoua tant que ce que nous mangeons est kasher selon la Torah. Nous parlons ici d'un dinner fait pour une fête païenne liée à des dieux étrangers même si cela est déguisé avec le Nom de Yéshoua. Mélange du sacré et du profance, ce qu'Elohim déteste.

Certains prêchent insidieusement ceci :
"Parce que vous devez aimer votre famille et les gens, recherchez la paix et le compromis avec votre famille et vos amis, ne combattez pas mais priez, aimez et laissez faire"

Et cela bien sûr au détriment de l'obéissance que nous devons à Elohim. Bien sûr, ce genre de plaidoyer qui prêche la facilité fait bien souvent des adeptes pour ceux qui sont fatigués d'être en conflit dans ce combat Spirituel avec leur entourage. Et ce sujet prêché par certains est un piège car ils se privent du combat qu'ils doivent mener pour Elohim et pour Yéhoshoua et plonge tête baissée dans la complaisance quand d'autres par contre ont compris qu'ils ne pouvaient plus participer à ces repas païens, ils ont ainsi choisi de s'opposer comme Elohim nous l'a dit.
Bien comprendre que s' opposer, ce n'est pas fermer la porte à la prédication du Salut en Yéhoshoua et de la Torah aux non-croyants, bien au contraire, nous pouvons aller à leur rencontre mais sans nous souiller avec leur pratique.

Certains rétorquent alors que Yéhoshoua mangea avec des pécheurs donc que l'on peut participer à un repas de Noël  pour parler aux pécheurs mais ils tordent les faits ici car Yéhoshoua n'a jamais participé à un banquet pour l'anniversaire de mithra ou thammuz ni accepté qu'une idole pour mithra ou thammuz se tienne dans sa maison.

Rappelons les faits :

Yéhoshoua mangea avec des pharisiens qui avaient la Torah et qui ne célébraient aucune fête païenne même s' ils ne suivaient pas la Torah Ecrite comme il le faut. 

Yéhoshoua mangea avec des Samaritains qui avaient aussi la Torah et qui au temps de Yéhoshoua ne célébraient pas de fêtes païennes même si leur doctrine était incorrecte concernant leur compréhension de la Torah. 

Yéhoshoua mangea avec des Juifs qui ne suivaient pas la Torah= pécheurs mais qui ne célébraient absolument pas de fête païenne au moment où Yéhoshoua était avec eux, et j'aime souvent dire que ce sont ces gens là qui mangèrent avec Yehoshoua et pas Yéhoshoua avec eux car Il ne participa à rien de païen, Il ne participa jamais à leurs péchés. 

Je fais remarquer que Yéhoshoua ne participa jamais à un banquet des philistins dédié à leur faux elohim ni à un banquet romain présent en son temps, banquet dédié aux elohim du solstice d'hiver version du Noël actuel.

Nous allons bientôt évoquer la hiérarchie dans le couple et sur ce que nous enseignent la Torah, Yehoshoua et les Apôtres à ce sujet.

Mais avant rappelons donc que ces gens qui tombent dans le piège de la concession et de la complaisance oublient que nous devons combattre, je ne dis pas que nous ne devons pas aimer notre famille et les autres mais je dis et j'affirme que nous devons aimer Elohim en premier. Notre Amour pour Elohim doit passer avant. Ne jamais oublier la hiérarchie des deux Commandements :

1- Tu aimeras Elohim de tout ton coeur...

et après vient

2- Tu aimeras ton prochain...

On ne doit pas aimer les autres avant Elohim comme nous le rappelle Yéhoshoua.

Matthieu 10:37 ( Shem Tov)
האוהב אביו ואמו יותר ממני איני ראוי לו
Celui qui aime son père et sa mère plus que moi, je ne lui conviens pas.


Bien sûr que nous devons aimer notre famille car c'est la Torah mais je rappelle aussi une partie de la Torah que certains ont du mal à prêcher et c'est pourtant le coeur de la Pensée et de la Sainteté d'Elohim :

Torah-Deutéronome 13:7-12 (Septante)
Et, si ton frère de père ou de mère, si ton fils, ta fille, ta femme qui repose sur ton sein, si l'ami que tu aimes comme ta vie, t'exhortent en secret, disant : Allons, servons d'autres elohim inconnus de tes pères et de toi,
des elohim des nations qui vous entourent de près ou de loin, d'une extrêmité à l'autre de la terre,
tu n'y consentiras point, tu ne l'écouteras point ; ton oeil ne prendra pas en pitié sa faute ; tu ne soupireras pas pour lui, tu ne le cacheras point.
Tu le feras connaitre, tu le signaleras ; tes mains s'éleveront les premieres contre lui pour qu'il périsse ; les mains du peuple viendront après.
Il sera lapidé, il mourra pour avoir cherché à te détourner de YHWH ton Elohim qui t'a fait sortir de l'Egypte et de la maison de servitude.
Tout Israel en l'apprenant aura crainte, et l'on évitera parmi vous de faire de nouveau un tel mal.


Notre Elohim Est Amour mais Il Est aussi Saint, ne l'oublions jamais ! Bien entendu que ce n'est pas au simple citoyen d'exercer cette sentence  de mort car selon la Torah cette sentence doit être appliquée par les juges etablis dans le sanhedrin-tribunal en terre d'Israël. Mais ceci nous montre combien Elohim déteste la compromission même avec nos plus proches.

L'enseignement de certains consiste juste à encourager la faiblesse et la facilité dans ce monde au détriment d'un coeur entier et sans concession qu'Elohim demande à son peuple.

Elohim et Yéhoshoua n'a jamais dit que cela serait facile, Il nous a dit que cela serait un combat difficile et encore considérons bien que ce combat contre ces fêtes païennes que nous menons aujourd'hui en occident n'est pas le plus dur car il ne nous demande pas encore d'aller jusqu'à la mort comme d'autres l'ont mené et ont remporté une grande victoire, considérez combien est belle la couronne qu'ils ont remporté pour leur Amour de la Torah et de Yéhoshoua. 

Notre Elohim a toujours dit aux hommes Israélites :
"Soyez des hommes"

Certains nous nomment des terroristes-extrémistes de la Torah mais on peut vraiment se demander légitimement comment ils nomment le roi David qui tua tant de gens sans-Torah pour son zèle de cette même Torah en Israël ou comment nomment-ils encore Mattathias et Yehouda Maccabés ou encore Josias ou Josué,  ou Moïse ou Abraham qui accepta de tuer son fils bien-aimé pour Elohim mais qui en fut empêché au dernier moment...

Certains dans cette doctrine de concession et de compromis enseignent que si un homme a une femme qui veut toujours célébrer Noël, il doit donc pour preserver la paix du ménage,  la laisser mettre un sapin selon son bon paisir dans sa propre maison et pourquoi pas célébrer le repas de Noël avec sa famille.

Mais une confusion est souvent prêchée par ces mêmes personnes qui mettent très souvent dans le même cas le mari et la femme et nous allons voir qu'il y a bien selon la Torah, Yehoshoua et les Apôtres une différence. 

Le grand problème de nos sociétés occidentales, c'est que l'on a donné aux femmes la même autorité, elles sont devenues des sociétés matriarcales au lieu de rester des sociétés patriarcales comme cela a été mis en place par Elohim dans la Torah. Et cette deviance est un gros problème qui trouve son écho jusque dans l'assemblée qui veut suivre Elohim. 

Selon la Torah confirmée  par Yehoshoua et les Apôtres,  le Machia'h doit être la tête c'est à dire le chef de l'homme et l'homme sous l'autorité du Machia'h doit être la tête de la femme c'est à dire le chef de la femme. C'est ainsi l'ordre établi par notre Elohim.

Donc, la femme doit obéir à son mari si celui-ci suit Elohim.

Dans le cas où une femme ne veut pas obéir à son mari quand il veut suivre Elohim, l'homme de la maison ne peut pas faire de compromis avec la Parole d'Elohim à cause de sa femme, il ne peut pas la laisser mettre un sapin de Noël qui est érigé pour des divinités païennes ni laisser célébrer cette fête abominable aux yeux d'Elohim dans sa maison. Il ne doit pas faire preuve de faiblesse, il ne doit pas se soumettre à sa femme mais doit se soumettre à la Volonté d'Elohim seulement.

Un exemple, imaginez les temps où les païens sacrifiaient à leurs faux elohim, même leurs enfants, imaginez donc un homme en ce temps-là qui abandonne ses anciennes pratiques paiennes et qui veut suivre Elohim et sa Torah mais que sa femme, elle, ne change pas et veuille continuer à sacrifier à ses faux elohim... Ce fut la faiblesse qui fut reproché au roi Salomon.
Quand une femme veut continuer les pratiques païennes de Noël après que son mari lui ait montré la vérité,  nous sommes exactement dans le même cas de figure aux yeux d'Elohim.

Je ne dis pas que cela est chose facile dans le couple, et bien sûr que nous devons prier, être patient et aimer mais jamais au détriment de l'obéissance que nous devons envers Elohim.

Parlons à présent de la différence entre le cas où la femme veut suivre quand son mari ne veut pas ou bien dans le cas où le mari veut suivre quand sa femme ne veut pas car il y a bien une différence selon la Torah dans ces deux cas de figure et certains alimentent la confusion des genres en enseignant les mêmes réponses dans les deux cas.

Pour commencer lisons ce que l'Apôtre Paul nous enseigne sur ce sujet :

1 Corinthiens 7:12-15
"Mais je dis aux autres (moi et non YHWH): Si quelque frère a une femme incrédule, et qui consente à demeurer avec lui, qu'il ne la quitte point..."


Bien comprendre ici que le terme de consentement inclu que la femme incroyante accepte de se soumette à l'autorité de son mari comme l'enseignent la Torah et les Apôtres. 

1 Timothée 2:11-15
Que la femme écoute l'instruction (de son mari) en silence (sans essayer de contester), en toute soumission;
Car je ne permets pas à la femme d'enseigner (de dicter ce que son mari doit faire et dire), ni de prendre de l'autorité sur son mari; mais elle doit demeurer dans le silence. (se soumettre à son mari)
Car Adam a éte formé le premier, et Eve ensuite.
Et ce n'est pas Adam qui a été séduit; c'est la femme qui, séduite, est tombée dans la transgression.
Toutefois elle sera sauvée en devenant mère, si elle persévère avec modestie dans la foi, la charité et la sainteté.

Ephésiens 5:22
Femmes, soyez soumises à vos maris, comme à YHWH;

Colossiens 3:18
Femmes, soyez soumises à vos maris, comme il convient en YHWH.

1 Pierre 3:1
Femmes, soyez de mêmes soumises à vos maris, afin que, si quelques-uns n`obéissent point à la parole, ils soient gagnés sans parole par la conduite de leurs femmes,


Suite 1 Corinthiens 7...
Et si quelque femme a un mari incrédule, et qui consente à demeurer avec elle, qu'elle ne le quitte point.


Ici notons bien que le consentement du mari incroyant à rester avec sa femme croyante inclu bien sûr le fait qu'il accepte de là laisser libre de suivre Elohim et la Torah. C'est bien ici la compréhension du mot "consentement" que nous devons avoir.

Suite 1 Corinthiens 7...
Car le mari incrédule est sanctifié par la femme; et la femme incrédule est sanctifiée par le mari; autrement, vos enfants seraient impurs, au lieu qu'ils sont saints maintenant.
Que si l'incrédule se sépare, qu'il se sépare; le frère et la sœur ne sont pas assujettis dans ce cas; mais Elohim nous a appelés à la paix."


Ici Paul permet donc dans certaines circonstances le divorce tel qu'il est d'ailleurs autorisé dans la Torah et par Yéhoshoua pour des cas bien spécifiques et non pour n'importe quelle raison comme nous allons le voir plus bas. 

Paul nous dit ici que la femme qui refuse de rester avec son mari, donc de se soumettre à son autorité car voulant continuer ses pratiques païennes, est libre de partir et dans le cas où un homme refuserait à sa femme de suivre Elohim et sa Torah, cette femme peut quitter son mari car il ne peut pas y avoir de paix si l'un des deux combat contre Elohim car Elohim doit toujours passer avant.

Ensuite bien noter qu'il y a une différence entre l'homme et la femme comme je l'ai dis plus haut. 

1- Dans le cas où c'est l'homme qui croit et non la femme,
l'homme qui croit ne peut absolument pas céder à sa femme sur les choses d'Elohim, il doit bien sûr aimer sa femme mais pas plus qu'Elohim et donc quand sa femme fait une chose mauvaise ou veut désobéir à la Torah d'Elohim, l'homme doit s'opposer en disant : "Pas sous mon toit, pas dans ma maison, car je suis le chef de cette famille, je décide" Et si la femme refuse de se soumettre, alors elle est libre de partir car elle choisi la part mauvaise, elle se prostitue à des elohim etrangers elle est adultère comme vous allez le voir un peu plus bas.

Ceux qui enseignent que l'homme peut laisser sa femme célébrer Noël sous son toit sous prétexte de préserver la paix des ménages, enseignent tout simplement à l'homme d'être faible concernant les choses d'Elohim et enseignent que l'homme doit plus aimer sa femme qu'Elohim en autorisant sa femme à mettre un objet idolâtre sous son toit, c'est exactement le même acte de faiblesse qu'eut Aaron quand il fit le veau d'or pour satisfaire la volonté du peuple.

On ne peut pas dire que l'homme est la tête de sa femme et après dire qu'il doit se soumettre à l'autorité de sa femme pour preserver la paix du ménage.


2- Dans le cas où c'est la femme qui croit mais que le mari ne croit pas, la femme doit partager à son mari sa foi et s'il là laisse libre de suivre Elohim et la Torah même si lui ne croît pas et ne suit pas, la femme peut se soumettre à son mari, elle n'est pas responsable des actes de son mari sous son toit car il est le chef de famille et comme le dit la Torah elle appartient à son mari.

Voici ici la différence entre les deux cas de figures selon l'enseignement Torahique et Apostolique.

A présent,  reparlons du cas où le divorce peut être autorisé comme nous l'avons vu plus haut.

Certains croyants en dehors de ce que dit la Torah, Yehoshoua et les Apôtres, interdisent tout divorce pour n'importe quelle circonstances mais il s' agit d'une méconnaissance des Saintes Ecritures.

Que penser alors de ce que fit Esdras lorsqu'il dit aux gens du peuple qu'ils renvoient toutes les femmes étrangères c'est à dire pratiquant l'idolâtrie ?

Certains osent même prétendre que le divorce dans certaines  circonstances bien precises n'est pas conforme avec la Parole d'Elohim alors qu'Elohim a bien dit ceci dans sa Torah :

Torah-Deutéronome 24:1-4
Quand un homme aura pris une femme et l'aura épousée, si elle ne trouve pas grâce à ses yeux, parce qu'il aura trouvé en elle quelque chose DE HONTEUX (ou IMPUR), il lui écrira une lettre de divorce, la lui mettra dans la main, et la renverra de sa maison.
Et si, étant sortie de sa maison, elle s'en va et devient la femme d'un autre homme,
Si ce dernier mari la hait, lui écrit une lettre de divorce, la lui met dans la main, et la renvoie de sa maison; ou si ce dernier mari, qui l'avait prise pour femme, meurt,
Son premier mari, qui l'avait renvoyée, ne pourra pas la reprendre pour femme après qu'elle a été souillée; car ce serait une abomination devant YHWH, et tu ne chargeras point de péché le pays que YHWH ton Elohim te donne en héritage.



Je sais, bien sûr,  ce que nous a dit notre Seigneur Yéhoshoua à propos du divorce et Il dit en réalité la même chose quand Il dit :

Matthew 19:9 ( Shem Tov)
.אומר אני לכם שכל העוזב את אשתו ויקח אחרת אם לא בשביל ניאוף הוא נואף והלוקח הגרושה ניאף

"Je vous dis que quiconque quitte sa femme et en prend une autre, SI CE N'EST POUR CAUSE D'ADULTERE, (FORNICATION ET IDOLATRIE) est adultère et (celui) qui prend le divorce commet l'adultère."


Par ces mots Yéhoshoua explique la seule raison autorisée pour le divorce donc Il ne contredit en rien la Torah ici mais Il la confirme et explique dans quel cas doit être appliqué le divorce. Il explique que cela a été precrit à cause de la dureté des coeurs, comprendre que c'est à cause de la rébellion qu'Elohim a donné cette prescription car comprenez bien que si le coeur des êtres humains ne s'opposait pas à Elohim et à ses Commandements, Elohim n'aurait pas eu besoin de prescrire une lettre de divorce dans le cas de l'impureté qui est contraire à sa Torah.

Bien comprendre aussi que le mot Grec "porneia" dans le texte de Matthieu 19:9 signifie au delà de la fornication sexuelle, l'adultère dans la pratique de l'idolâtrie.  Le prophète Osée utilise le meme mot Hebreu que dans le Shem Tov “ניאוף” (adultère, fornication, prostitution) qu'il utilise comme une analogie à des pratiques idolâtres concernant Israël. 

Osée 1:1-2
La parole de YHWH qui fut adressée à Osée, fils de Bééri, au temps d'Ozias, de Jotham, d'Achaz, d'Ézéchias, rois de Juda, et au temps de Jéroboam, fils de Joas, roi d'Israël.
Lorsque YHWH commença à parler par Osée, YHWH dit à Osée: Va, prends une femme prostituée et des enfants de prostitution; car le pays ne fait que se prostituer loin de YHWH.


Cette analogie est aussi vue dans Osée 4:10-14, Jérémie 3:1-13 et Ezechiel 16:26.

Comprenez bien que Yéhoshoua n'encourage pas les gens à faire des concessions concernant le ministère d'Elohim, non, Il ira même jusqu'à dire ceci :

Matthieu 19:29
Et quiconque aura quitté des maisons, ou des frères, ou des sœurs, ou père, ou mère,ou femme, ou enfants, ou des champs, à cause de mon Nom, en recevra cent fois autant, et héritera la vie éternelle.


Comprenons bien que Yéhoshoua enseigne que l'homme ne doit pas se separer de sa femme tant que celle-ci n'est pas adultère en refusant de se soumettre à son mari qui se soumet lui-même à Elohim.

Si la femme se soumet au mari qui suit la Torah et Elohim, Yéhoshoua dit alors que le divorce n'est pas permis car il s' agit d'une fille d'Israël et là renvoyer sous des prétextes charnels, c'est alors commettre adultère pour le mari qui agit ainsi car on ne peut pas traiter une fille d'Israël qui aime Elohim comme un mouchoir jetable. En effet, le divorce dans la Torah n'est autorisé que si de l'impureté est trouvé chez la femme, comprendre si la femme refuse de se soumettre à la Torah par sa prostitution idolâtre et sexuelle. 

En espérant que cela aidera certains à y voir plus clair et fortifiera tous ceux qui combattent pour notre Elohim.

Esaïe 52:11
Partez, partez, sortez de là! Ne touchez rien d`impur! Sortez du milieu d`elle! Purifiez-vous, vous qui portez les vases de YHWH!