mercredi 28 décembre 2016

transhumanisme


Nous savons grâce au Livre Saint d'Hénok que Noah vécu avant le déluge une époque bien plus tourmentée que la notre, savoir que de son temps existaient des titans démoniaques engendrés par les anges déchus avec des femmes des hommes.

Des mutation génétiques, nous sommes là au coeur du sujet.

Savoir que la Torah de notre Elohim s'oppose en tous points aux mutations génétiques. Nous voyons ce fait ressortir lorsqu'Elohim commande sans cesse aux créatures de se reproduire chacun selon son espèce. Voir Genèse chapitre 1.

De même dans cette même ligne de pensée, Elohim interdit les mélanges génétiques des animaux entre espèces différentes. 

Torah-Lévitique 19:19 
Vous observerez ma Torah ; tu ne feras pas saillir tes bêtes par des bestiaux d'une autre espèce...


Savoir que ce Commandement a été largement bafoué dans le passé avant le déluge et ces informations nous les avons avec précision dans le Livre d'Hénok et le Livre des Jubilés confirmés par la Genèse,  l'Apôtre Jude et l'Apôtre Pierre.

En effet, nous savons grâce à Hénok le Scribe de Justice qui nous a laissé ses Écrits transmis par Noah notre père à tous, qu'avant le déluge, des anges déchus prirent des femmes des hommes et créèrent une race nouvelle,  des géants disons plutôt des titans.

Ces anges déchus créèrent des mutants avec des supers pouvoirs, ils introduisirent dans la race humaine par le biais de femmes des hommes, une mutation génétique qui s'opposait au Plan d'Elohim et qui donna des pouvoirs à leurs fils.

Voici le dénominateur commun avec ces supers héros marvel que le monde du cinema babylonien veut nous faire passer pour des gentils.

Torah-Genèse 6:1-4
Il vécut dans le temps que les hommes commencèrent à être nombreux sur la terre, et que des filles leur étaient nées.
Or, les fils d'Elohim, ayant vu que les filles des hommes étaient belles, prirent pour femmes, parmi toutes, celles dont ils firent choix.
Et YHWH Elohim dit : Mon souffle ne restera pas toujours avec ces hommes, parce qu'ils ne sont que chair. Désormais leurs jours formeront cent vingt ans.
Or, il y avait des géants sur la terre, en ces jours-là ; car depuis que les fils d'Elohim s'étaient unis aux filles des hommes, elles leur avaient enfanté ces géants, ces hommes fameux.


Il est aussi connu au regard de ce que nous dit la Torah et le Livre d'Hénok et aussi le Livre des géants trouvé à Qumran que ces anges déchus ne se contenterent pas d'aller avec des femmes des hommes mais qu'ils s'accouplerent aussi à des animaux créant des monstres mutants, ces monstres mutants très bien décrits dans la mythologie grecque comme le centaure, mi-homme mi-cheval ou encore le minotaure, moitié beuf moitié homme, ou encore la gorgone, une femme avec des serpents sur sa tête,  ect...

Torah-Genèse 6:12
Et YHWH Elohim vit la terre toute corrompue, parce que toute chair sur la terre avait corrompu ses voies.


Torah-Jubilés 5:1-4
Et cela arriva lorsque les enfants des hommes commencèrent à se multiplier à la surface de la terre et que des filles leur étaient nées, à une certaine année de ce jubilé les anges d'Elohim les virent, car elles étaient belles à regarder, et se prirent des femmes parmi toutes celles qu’ils choisirent et elles leur portèrent des fils qui étaient géants.
Et les sans-Torah augmentèrent sur la terre et toute chair corrompit sa voie, hommes et bétail et bêtes et oiseaux pareillement, eux tous corrompirent leurs voies et leurs règles et ils commencèrent à se dévorer entre eux. Et les sans-Torah augmentèrent sur la terre et toute imagination des pensées des hommes [était] sans cesse au mal.
Et Elohim regarda sur la terre et voici, c’était corrompu et toute chair transgressait ses règles et tout ce qui était sur la terre avait fait toutes les sortes de mal devant ses yeux et Il dit qu’Il détruirait de la surface de la terre les hommes et toute chair qu’Il avait créés.
Mais Noah trouva grâce devant les yeux de (YHWH), mais contre les anges qu’Il avait envoyés sur la terre Il était extrêmement en colère et Il donna ordre de leur soustraire toute autorité et nous instruisit de les attacher dans les abîmes de la terre et voici, ils sont attachés en plein centre et sont [gardés] séparés.


Savoir et comprendre que "corrompre ses voies" dans la Torah est liée notamment à l'infraction du Commandement dans la Torah de la reproduction "chacun selon son espèce."

Torah-Genèse 1:24
Elohim dit: "Que la terre produise des êtres animés selon leurs espèces: bétail, reptiles, bêtes sauvages de chaque sorte." Et cela s'accomplit.


L'espèce humaine et chaque espèce animale possède son propre ADN selon la Volonté d'Elohim qui créa toutes les créatures vivantes selon leur propre ADN. 

Et c'est cet ADN que modifierent les anges déchus par toutes leurs abominations, il firent des mutations génétiques ce qui est une abomination pour Elohim. 

Savoir que ces anges déchus et ces géants mutants fils de ces anges déchus sont en réalité les faux dieux decrits dans la mythologie grecque.

Et bien sachez une chose, nous commençons à entendre parler de plus en plus de transhumanisme dans les médias ceci avec un but bien précis qui est de commencer à habituer de plus en plus les masses à cette idée horrible.

Bien que fort heureusement il n'y aura plus jamais de titans démoniaques, nous voyons resurgir le même état d'esprit démoniaque pré-déluge.

Mais qu'est ce que le transhumanisme ?

Le transhumanisme est un mouvement culturel et intellectuel international prônant l'usage des sciences et des techniques afin d'améliorer les caractéristiques physiques et mentales des êtres humains. Le transhumanisme considère certains aspects de la condition humaine tels que le handicap, la souffrance, la maladie, le vieillissement ou la mort subie comme inutiles et indésirables. Dans cette optique, les penseurs transhumanistes comptent sur les biotechnologies et sur d'autres techniques émergentes. 

Le terme « transhumanisme » est symbolisé par H+ et est souvent employé comme synonyme d'« amélioration humaine ».

Je vous laisse deviner quel procédés sont en cours d'utilisation.
La modification de l'ADN de l'être humain pour faire des mutants immortels ayant des capacités surhumaines, tels les faux dieux de l'antiquité.

Ne croyez pas naïvement que le transhumanisme est refusé dans la pensée des masses car les masses sans-Torah sont bien préparés à cela, en effet bien comprendre que nous sommes entrés dans l'ere des manipulations anti-Torahique, en effet les masses ont acceptés l'interruption volontaire de grossesse pratique démoniaque qui existe depuis des temps reculés comme à l'époque de Noah, cette pratique fut enseignée par un ange déchu (lire le Livre d'Hénok).

Dans l'antiquité, des décoctions étaient connues et utilisées pour faire avorter les femmes donc quand nos sociétés dépravées nous parlent de progrès,  elles devraient plutôt nous parler de régression, ce sont elles qui reculent en arrière dans leurs moeurs dépravées. 

Les masses ont aussi acceptés les bébés éprouvettes, ce qui est aussi anti-Torahique, ect...

Et aussi le mariage gay, qui est une dépravation des voies.

Donc soyez assurés que le transhumanisme est accepté par les masses, il y a quelques levers de boucliers comme il y en a eu contre l'avortement,  les bébés éprouvettes et le mariage gay, mais cela finira par passer car ceux qui font passer cette idée nouvelle dans les moeurs savent comment faire accepter l'inacceptable pour les sans-Torah. 

C'est d'ailleurs déjà l'argument avancé par les transhumanistes, celui de sauver des vies et d'améliorer le quotidien, c'est au nom d'un amour frelaté qu'ils font accepter cette idée,  remarquez bien que c'est bien souvent cet argument qu'utilise le diable pour avancer ses pions. 

Nous pouvons parler à cet effet de plusieurs dons d'organes reconnus aujourd'hui comme un acte positif par les masses car hormis certains dons d'un des 2 reins ou d'un des 2 poumons sur une personne vivante ou de cornées sur des personnes déjà mortes savoir que la majorité des dons d'organes sont absolument anti-Torahique car ils entraînent le meurtre d'autres personnes pour en sauver d'autres, et oui chose complètement méconnue par le grand public car le terme de mort cérébrale est un terme inventé par le corps médical en 1968 pour justifier le prélèvement d'organes vitaux sur une personne encore bien en vie, car savoir qu'un organe vital tel le coeur, les reins, les poumons ne peut etre prélevé que sur une personne qui a ses fonctions bien en vie. 

Auparavant, la mort était reconnue lorsque la personne cessait de respirer, tout comme la Bible enseigne que le Souffle quitte le corps d'une personne, aujourd'hui avec la médecine dépravée il n'en n'est plus ainsi. 

Je veux aussi en profiter pour parler des transfusions sanguines, à mon sens les transfusions sanguines sont à éviter dans la mesure du possible mais si elles sont indispensables lors d'une intervention chirurgicale, demander avant l'intervention de recevoir son propre sang, ce qui est possible.

Savoir qu'aujourd'hui le sang des homosexuels est accepté par certaines législations dans certains pays, de plus penser au fait que toutes les impuretés liées à une alimentation non kasher et autres se retrouvent dans le sang.

Concernant le don de sang, étant donné que le système médical est corrompu dans ses principes sur bien des points, je ne crois pas que nous devions participer à son fonctionnement en donnant notre sang. 

Ce que les médecins sans Elohim-Dieu veulent ignorer, c'est que notre Elohim peut sauver la vie d'une personne sans transfusion sanguine, la prière est efficace pour ceux qui placent leur confiance en leur Elohim.

Concernant la vérité sur les dons d'organes, lire cet article très intéressant
Savez-vous que, pour pouvoir prélever des organes, le « mort » doit souvent être… anesthésié ??? 

Hé oui, c’est une réalité qui est rarement révélée aux donneurs, et à leur famille. Cela ne veut pas dire qu’il ne faut pas faire de don d’organes, au contraire. Mais il est important de ne pas le faire aveuglément. 

Pour pouvoir être transplantés, les organes doivent être frais. Le cœur d’une personne morte depuis ne serait-ce que cinq minutes est inutilisable : il ne se remettra jamais à battre, y compris avec un pacemaker (un appareil qui donne des chocs électriques pour stimuler les pulsations). Il en va de même des autres organes vitaux (reins, foie, pancréas, poumons…) 
Pour que les organes soient bien frais, il faut qu’ils soient encore en train de fonctionner au moment où ils sont prélevés. Ils ne peuvent donc pas être prélevés sur un « mort » réellement mort, mais sur une personne en état de « mort cérébrale », ce qui, nous allons le voir… est très différent. 

Revenu du séjour des morts 

Le journal anglais Daily Mail publie l’histoire d’un jeune britannique qui a eu la vie sauvée par son père qui s’était opposé à ce que ses organes soient prélevés pour servir à des transplantations. 

L’affaire s’est produite à l’hôpital universitaire de Coventry, dans le nord de l’Angleterre : 

Stephen Thorpe, 17 ans, avait été gravement blessé à la tête lors d’un accident de voiture au cours duquel était mort son ami Matthieu, 18 ans, qui conduisait le véhicule. 

Les médecins le mirent sous coma artificiel et, deux jours plus tard, le déclarèrent en état de « mort cérébrale ». La « mort cérébrale » permet l’ouverture de la procédure de prélèvement d’organes. Mais les parents de Stephen, qui étaient auprès de lui, affirmèrent qu’ils « sentaient que leur fils était encore là » et qu’il réagissait à certaines paroles. 

Alors que quatre médecins de l’hôpital confirment la « mort cérébrale » et souhaitent que commence le prélèvement d’organes, les parents de Stephen font appel au Docteur Julia Piper, praticienne de médecines traditionnelles et alternatives. Celle-ci obtient l’autorisation de faire examiner Stephen par un neurochirurgien de confiance, qu’elle connaît. 

Celui-ci conclut que le jeune garçon n’est absolument pas « mort cérébralement ». Il demande qu’il soit au plus vite sorti de son coma artificiel. Et en effet, cinq semaines plus tard, Stephen rentre chez lui, entièrement remis. 

Aujourd’hui, Steven a 21 ans et étudie la comptabilité à l’université de Leicester. « Mon impression est que l’hôpital n’était pas très favorable à ce que mon père demande une contre-expertise médicale » a-t-il déclaré au Daily Mail. 

Ne pas confondre « mort » et « mort cérébrale » 

Le concept de « mort cérébrale » a été inventé en 1968. Jusque-là, on ne connaissait que deux états : vivant ou mort. 

Une personne était vivante tant que son corps restait chaud, que son cœur continuait à battre, qu’elle respirait et que son sang continuait à circuler. 

La mort, au contraire, était déclarée lorsque la vie avait quitté le corps. Un corps mort, au sens traditionnel du terme, devient froid, rigide. Il ne répond plus à aucun stimulus. Le cœur ne bat plus, la tension artérielle disparaît. Le patient arrête de respirer. La peau, les ongles et les muqueuses prennent une couleur bleutée. Mettre le cadavre sous respiration artificielle ne relance pas l’oxygénation du corps. Stimuler le cœur par une impulsion électrique (pacemaker) ne le fait pas recommencer à battre. 

Une personne morte ne peut tout simplement plus guérir. Ses organes vitaux, le cœur, le foie, les poumons, les reins et le pancréas ne fonctionnent plus. On ne peut plus les transplanter sur une personne vivante, car ils commencent à se décomposer aussitôt que l’oxygénation et la circulation sanguine s’arrêtent. Cinq minutes plus tard, ils sont inutilisables. 

Pour pouvoir prélever des organes encore vivants, et donc capables d’être transplantés sur une nouvelle personne, les médecins créèrent en 1968 le concept de « mort cérébrale ». Une personne dont le cœur fonctionne, le sang circule, et la respiration est régulière peut donc aujourd’hui être déclarée en état de « mort cérébrale ». On sait pourtant que, dans ce cas, la plupart des fonctions vitales continuent, dont la digestion, l’excrétion (évacuation des déchets), et l’équilibre des fluides. 

S’il a des blessures, on constatera que le « mort cérébral » cicatrise, et si c’est un enfant, qu’il continue à grandir. Il peut même traverser la puberté. Une femme enceinte en état de « mort cérébrale » peut continuer à porter son enfant : la plus longue période enregistrée est de 107 jours jusqu’à l’accouchement. 

En revanche, une fois que ses organes vitaux sont retirés pour être transplantés sur une autre personne, le « donneur » d’organe décède pour de bon. 

Pour prélever des organes, le « mort » doit d’abord être anesthésié 

Très souvent, la personne en état de « mort cérébrale » est sensible aux opérations chirurgicales. C’est ce que les médecins appellent l’effet Lazare, du nom de l’homme qui, dans les Evangiles, ressortit de son tombeau. 

Pour pouvoir prélever les organes vitaux, les médecins doivent donc pratiquer l’anesthésie, ou injecter des substances paralysantes pour éviter les spasmes musculaires, ou les changements brutaux de pression sanguine, de rythme cardiaque, et d’autres réflexes protecteurs. 

Dans la pratique médicale normale, de telles réactions de la personne opérée indiquent à l’anesthésiste que l’anesthésie est trop légère, et que le patient souffre. 

Ces informations, que n’importe quel médecin pourra vous confirmer, sont malheureusement mal connues du grand public. Il semble également que les familles à qui l’on demande d’autoriser un prélèvement d’organe ne soient malheureusement pas toujours informées objectivement. 

Le cas de Stephen n’est pas isolé 

Il existe des dizaines de cas similaires à celui de Stephen, dans lesquels une personne comateuse ou inconsciente est déclarée en état de « mort cérébrale » ou « sans espoir de guérison ». Bien souvent, les familles subissent alors des pressions pour autoriser les prélèvements d’organes. 

En 2011, l’Hôpital Sainte-Croix de Drummondville (au Québec), a demandé l’autorisation d’extraire les yeux d’une patiente qui s’était étranglée pendant son repas à l’hôpital en l’absence de personnel soignant, affirmant qu’elle était en état de « mort cérébrale ». Après que la famille eut demandé des preuves au médecin, elle se réveilla et retrouva l’essentiel de ses facultés. (2) 

En 2008, un Français de 45 ans s’est réveillé sur la table d’opération, tandis que les médecins s’apprêtaient à lui prélever ses organes, suite à un arrêt cardiaque. Lors de l’enquête menée par le « comité d’éthique », plusieurs médecins reconnurent que ce type de cas, bien que rare, leur était parfaitement connu. (3) 

La même année, Sack Dunlap, un Américain de 21 ans, « mort cérébralement », était sur le point de se faire retirer ses organes vitaux lorsque ses deux sœurs, toutes les deux infirmières, décidèrent de vérifier qu’il était en effet « mort cérébralement ». Discrètement, elles enfoncèrent une pointe sous son ongle de pied, ce qui provoqua une forte réaction de Dunlap, prouvant qu’il était conscient. Il se remit complètement et déclara plus tard qu’il était conscient et entendait les médecins autour de lui discuter des organes qu’ils allaient lui prélever ! 

Alors, dans ce domaine comme dans tous les autres, cher lecteur, rappelez-vous qu’il s’agit de votre vie, votre santé, et jamais de celle ni des médecins, ni des personnes qui vous conseillent, même lorsque celles-ci sont de la meilleure volonté. 


Note: 

Le don d’organe est AUTOMATIQUE… c’est à dire que vous pouvez être prélevé MÊME si vous ne l’avez jamais autorisé !! Bref, si vous ne souhaitez pas être déclarer « mort par anticipation » (comme l’indique l’article), vous pouvez vous inscrire là: 

http://vosdroits.service-public.fr/F20088.xhtml (site officiel de la République Française) 


Sources : 

1. The Daily Mail, le 24 avril 2012 : http://www.dailymail.co.uk/health/article-2134346/Steven-Thorpe-Teenager-declared-brain-dead-FOUR-doctors-makes-miracle-recovery.html?printingPage=true 

2. http://www.journalexpress.ca/Société/Santé/2011-06-30/article-2624757/Un-mal-de-dent-qui-a-failli-virer-en-don-dorganes/1 

3. Article publié dans le journal Le Monde, disponible ici : http://actuagencebiomed.blogspot.fr/2008/06/le-donneur-dorganes-ntait-pas-mort.html 

Et il y a aussi les xenogreffes qui sont anti-Torahique.

La xénogreffe désigne la transplantation d'un greffon (organe par exemple) où le donneur est d'une espèce biologique différente de celle du receveur. Elle s’oppose ainsi à l'allogreffe où le greffon vient de la même espèce que le receveur.

Le porc est l'un des meilleurs animaux donneurs d'organes pour l'humain, en raison notamment de sa disponibilité et de la taille de ses organes.

Cette technique est encore expérimentale pour les organes et les cellules. Elle est appelée à se développer en raison de la pénurie d'organes humains pour les allogreffes. Elle est en concurrence avec d'autres voies de recherche qui sont la substitution mécanique des organes défaillants (« cœur artificiel ») et les cellules souches.

En 1905, un chirurgien lyonnais, Mathieu Jaboulay, a tenté la première xénogreffe en essayant de transplanter un rein de chèvre sur une femme ayant accouché. Toutes les tentatives de xénogreffes se sont soldées par un échec du fait du rejet aigu de l'organe. Aux États-Unis, le docteur Keith Reemtsma a procédé à une douzaine de greffes de rein à partir d'un rein de chimpanzé en 1963. La survie la plus longue fut celle d'une jeune fille de 23 ans, qui survécut 9 mois, et put reprendre son travail d'institutrice durant cette période. On peut citer également les interventions du professeur Jules Traeger à Lyon.

Cette technique est utilisée pour greffer des valves cardiaques de porcs chez l'être humain. Le tissu animal est traité chimiquement pour lui ôter tout facteur immunogène et ne contient plus aucune cellule vivante, permettant ainsi une utilisation prolongée, sans traitement complémentaire. De même des tendons de porc, traités par la même technique, sont utilisés en orthopédie.

Le stade n'est, pour l'instant, qu'expérimental (chez les primates non humains). Le principal obstacle reste le rejet de greffe. L'un des gènes posant problème est le galactose-α-1,3-galactose, n'existant pas dans l'espèce humaine. Un porc génétiquement modifié et déficient en cet antigène a pu être élevé, permettant une meilleure tolérance des organes greffés. Le problème immunologique n'est cependant pas maîtrisé, avec des troubles importants de la coagulation, un syndrome inflammatoire, un rejet chronique malgré un traitement immuno-suppresseur.

L'injection de cellules pancréatiques sécrétrices d'insuline pourrait théoriquement traiter le diabète. L'encapsulation de ces cellules permet théoriquement d'éviter le contact du système immunitaire de l'hôte. Un premier essai a été fait chez l'être humain à la fin des années 1990 avec un recul de 10 ans montrant la persistance de l'activité cellulaire greffée.

Des tests ont également été menés chez des primates avec des cellules souches neuronales, des cellules hépatiques (hépatocytes), des cellules sanguines...


Les transhumanistes veulent par leur manipulation génétique sauver des vies humaines, voilà un argument qui fait tout accepter au nom de l'amour sans Elohim. 

Et une fois que des mutans existeront, certains d'entre eux réclameront des droits de respect et de tolérance en défendant le transhumanisme qui les a aidé et cela sera un levier énorme pour faire accepter le transhumanisme. 

Voici ce qu'ont déjà essayé les kittim-chinois, lire cet article

Une équipe de scientifiques chinois - sous la direction de Junjiu Huang, un chercheur en génétique de l'université de Sun Yat-sen à Guangzhou -, vient d'annoncer qu'elle avait modifié le génome d'un embryon humain. Les résultats de leur recherche ont été publiés dans le magazine Protein & Cell. Cela confirme les rumeurs de plus en plus persistantes autour de l'existence de telles expériences.


Modifier le génome de l'homme

Il s'agirait de modifier le génome humain alors qu'il est encore à l'état d'embryon. De cette manière, on pourrait non seulement modifier le matériel génétique d'une personne, mais aussi l'ADN qu'elle transmet à ses éventuels descendants. De "mauvais" codes génétiques seraient supprimés alors qu'on pourrait en ajouter des "bons". Suite aux rumeurs autour de telles recherches, la communauté scientifique avait déjà prévenu que personne ne devait toucher au génome humain. Ou du moins pas de cette manière et sans en comprendre les conséquences réelles que cela pourrait avoir pour l'humanité.
L'équipe de Huang a essayé de contourner les critiques en utilisant des embryons non viables. Des embryons qui seraient de toute façon morts nés et qui ont été récoltés auprès de clinique de la fertilité précise le Magazine Nature. Mais Huang ne serait pas le seul dans la course. Selon une source chinoise, pas moins de quatre équipes travailleraient sur des projets de modification du génome humain.
Dans sa publication, Huang lève le voile sur la manière dont il compte modifier le gène qui est responsable de la bêta-thalassémie, une maladie sanguine potentiellement mortelle. Pour cela lui et son équipe ont utilisé la technique connue comme la CRISPR/Cas9. Les chercheurs auraient néanmoins été confrontés à de gros obstacles et le chemin risque d'être encore long avant que le procédé ne soit réaliste d'un point de vue clinique. Selon Business Insider, cette technique est encore très peu fiable, car elle peut entraîner des substitutions de gènes non souhaitées. Par ailleurs une modification génétique de l'embryon a aussi des conséquences sur les générations futures très difficiles à mesurer. Sans parler d'un usage guère éthique de la technique.
Dans l'expérience de Huang, l'ADN souhaité n'a pris que pour une petite fraction des embryons, soit au total seuls 28 des embryons se seraient correctement divisés. L'expérience portait sur 86 embryons. Les scientifiques ont remarqué un nombre étonnamment élevé de mutations déviantes précise Nature. C'est à ce moment que l'équipe de Huang a mis fin aux recherches. Car selon lui , si l'on veut appliquer cette technique au niveau médical, il faut se rapprocher davantage des 100 %

Beaucoup de magazines ont refusé de publier l'étude.

Huang précise que les magazines Nature en Science n'ont pas voulu publier son étude pour des raisons éthiques. Ces derniers n'ont pas souhaité réagir à ces allégations. Il est vrai que le débat sur la question fait rage dans les milieux scientifiques. Il y en a qui y voit un formidable moyen d'éradiquer des maladies génétiques héréditaires comme la maladie d'Huntington, l'anémie falciforme, la mucoviscidose, etc. D'autres, plus pessimistes, pensent que la technique sera surtout utilisée pour créer des bébés à la carte.
Malgré le tohubohu créé par cette étude, on ne peut nier qu'à travers le monde on expérimente beaucoup autour cette technique qui est assez facile à utiliser puisqu'elle a déjà été testée sur des cellules de personnes adultes et des embryons d'origine animale. Huang lui-même ne veut pas abandonner cette piste. Il va réaliser d'autres tests sur des embryons d'animaux pour optimiser la technique du CRISPR.

Des mutations génétiques ont déjà commencé et des enfants sont nés aux USA avec des ADN anormaux. 

Jusqu'à présent, deux des bébés ont subi des tests et on a découvert qu'ils portaient les gènes de trois « parents ». Quinze enfants sont nés ces trois dernières années à la suite d'un programme expérimental de l'Institut de médecine et des sciences de procréation de St Barnabas dans le New Jersey.

Les bébés sont nés de femmes qui avaient des problèmes de fécondité. Des gènes extérieurs d'une femme donneuse ont été insérés dans leurs ovules avant d'être fécondés, en attendant qu'elles puissent concevoir d'elles-mêmes. Des tests d'empreinte génétique sur des enfants entre un et deux ans confirment qu'ils ont hérité de l'ADN de trois adultes – deux femmes et un homme. Le fait pour les enfants d'avoir hérité et incorporé des gènes supplémentaires dans leur « lignée germinale » signifie qu'ils pourront à leur tour les transmettre à leur propre descendance.


Les transhumanistes fervents croyants évolutionnistes pensent que l'espèce humaine ayant évolué depuis l'animal doit à présent évoluer pour faire place à une nouvelle race modifiée cette race supplantant l'ancienne defaillante car mortelle.

La société sans-Torah dans son ensemble est préparée,  formatée pour accepter le transhumanisme, il suffit de regarder quels sont les supers faux héros véhiculés par les mass-medias, bien des enfants ont pour héros des mutants. 

Bien avoir conscience que le monde dans lequel nous vivons en exil est babylone la grande.

Bien des choses sont véhiculées au sein de babylone la grande sans que beaucoup n'en soient véritablement conscients mais il est un devoir pour le croyant Israélite en Yéhoshoua de sortir de babylone, c'est à dire de ce système de pensée.

Comprendre que les milieux des médias et du cinéma ont une grande part de responsabilité dans le formatage des coeurs et des esprits pour que ceux-ci soient prêt à appeler le mal bien et le bien mal, faisant passer des démons pour des anges d'Elohim et vice-versa. 

Autrement dit, satan se déguise en ange de lumière.

Les soit-disant gentils super-héros marvel qui sont d'abord apparus sous forme de comics, bande-dessinées,  pour ensuite être repris par hollywood pour engrager des milliards, ne sont pas du tout des gentils héros et vous allez comprendre pourquoi.

Tout d'abord pour comprendre,  il est nécessaire de faire une analyse de ces personnages. Qu'ont-ils tous en commun ?

La plupart d'entre eux, en passant par spiderman, hulk, les 5 fantastiques, les x men, les mutants (qui portent bien leurs noms), ect... sont des êtres humains qui auraient subis des mutations génétiques et ce sont ces mutations génétiques qui donneraient à ces hommes leurs supers pouvoirs.


Parlons de superman, il sortit de l'imagination de deux hommes, siegel et schuster, tous les deux de confession juive. Tout d'abord « Kal-El », le nom kryptonien de clark kent / superman, a un sens en hébreu et signifie soit « Tout ce qu'Elohim est » (כל-אל), soit « La voix d'Elohim (כל-אל) . 

Notons que ces deux auteurs Juifs ne croient pas en Yéhoshoua-Jésus, ils voulurent representer l'image qu'ils se font du Machia'h mais semblable à un ange car décrit comme un extraterrestre non humain ayant tous les pouvoirs d'Elohim et ayant une histoire d'amour avec une femme humaine, une journaliste. 

Nous avons en réalité ici l'image d'un ange déchu tel que décrit dans Henok et non celle du Messie car le Messie n'est pas un ange extraterretre mais Il Est 100% homme dans lequel habite La Plénitude de la Divinité.

On peut aussi citer wonder woman qui est la fille d’hippolyte, reine des amazones ou aquaman roi d'atlantis, un royaume directement issu du mythe de l'atlantide.

Nous avons aussi le captain marvel sorti en 1941, aux USA dans les salles de cinéma. Voici un résumé de l'histoire, billy batson, un jeune orphelin, rencontre un vieux sorcier de l'Égypte antique répondant au nom de shazam. Celui-ci choisit le jeune garçon pour lui succéder et lui transmet donc ses pouvoirs. billy batson dispose désormais des pouvoirs de six figures illustres de la mythologie grecque. En prononçant le mot "shazam", il devient le captain marvel et acquiert ainsi soit-disant la sagesse de Salomon, la force d'hercule, l'endurance d'atlas, la puissance de zeus, le courage d'achille et la vitesse de mercure.

Créé à l'origine en 1940 par fawcett publications, le personnage est racheté en 1972 par DC comics. Les droits sur le nom "captain marvel" ayant toutefois été déposés entre-temps par marvel, le personnage est rebaptisé "shazam" ! Une série TV est alors produite en 1974. Le show durera jusqu'en 1977.

Et nous avons aussi le personnage thor qui porte ouvertement le nom d'un dieu païen. 

Sachant tout cela, il ne nous est plus possible de douter encore du côté maléfique de tous ces personnages

Vous croyez que le transhumanisme est loin de nous ?

Voici ce que nous pouvons glaner sur un site qui parle du transhumanisme, je cite :

"Qu’il s’agisse de créer des cultures génétiquement modifiées ou de fabriquer des animaux résistants aux maladies, le fait de modifier les gènes a toujours été sévèrement critiqué. L’une des peurs réside dans le fait que la modification d’ADN humain sur un individu au stade embryonnaire pourrait engendrer une maladie génétique fatale qui se perpétuerait sur plusieurs générations.

Malgré cela, un chercheur tente la manipulation génétique la plus controversée au monde. C’est le biologiste du développement, Fredrik Lanner, qui effectuera le tout premier test de manipulation génétique sur un embryon humain en bonne santé.

Lanner, qui travaille à l’Institut Karolinska à Stokholm, procède à des manipulations génétiques sur des embryons humains pour observer comment ils interviennent dans la régulation des touts premiers stades du développement embryonnaire. Il se concentre plus précisément sur les gènes essentiels au développement embryonnaire normal afin d’en apprendre plus sur l’infertilité, les fausses couches, les cellules souches et comment traiter les conditions « débilitantes ».

« Si nous parvenons à comprendre comment ces cellules primitives sont régulées dans un véritable embryon, ces connaissances nous aideront dans le futur à traiter des patients atteints de diabète, ou de Parkinson, ou différents types de cécité et d’autres maladies », a déclaré Lanner à NPR.

Il utilise la célèbre méthode d’édition CRISPR-Cas9. L’outil fait intervenir deux molécules qui se concentrent sur les gènes d’un individu pour procéder à des modifications ultra-précises de son ADN.

« [Sans CRISPR], nous ne pouvions absolument pas faire de telles choses sur des embryons humains », a affirmé Lanner. « La technologie n’était tout simplement pas assez efficace pour essayer d’observer le fonctionnement d’un gène précis pendant le développement embryonnaire ».

Lanner mène également des recherches plus fondamentales sur les moyens de procéder à des modifications génétiques sachant que les débats d’éthique ont empêché de nombreuses études d’être menées dans ce domaine."

"Les scientifiques du Royaume-Uni sont autorisés à modifier génétiquement les embryons humains pour la première fois dans l’histoire. La licence a été accordée par Human Fertilisation and Embryology Authority (HFEA).

L’autorisation a été accordée pour modifier l’ADN des embryons dans les sept premiers jours après la fécondation, et pourrait fournir des indices à court terme pour ce qui provoque une fausse couche chez les femmes.

L’HFEA a par ailleurs re-confirmé ce lundi qu’il serait interdit d’utiliser les embryons pour les transplanter sur des femmes."


FIV: les premiers embryons humains génétiquement modifiés pourraient être créés en Grande-Bretagne dans les prochaines semaines"


"Les scientifiques sont sur le point de savoir si leur proposition de recherche a été approuvée par l’organisme de surveillance de la fertilité.

Bien qu’il sera illégal de permettre aux embryons de vivre au-delà de 14 jours, et être implantés dans l’utérus, les chercheurs ont reconnu que la recherche pourrait un jour conduire à la naissance des premiers bébés GM.

Une demande de licence pour modifier les gènes des embryons fécondés in vitro à des fins de recherche doit être discutée le 14 Janvier par le Human Fertilisation and Embryology Authority (HFEA), avec l’approbation finale susceptible d’être donnée ce mois-ci.

Les scientifiques de l’Institut François Crick à Londres ont déclaré que si on leur donne le feu vert, ils pourraient commencer à travailler tout de suite, menant aux premiers embryons humains transgéniques créés en Grande-Bretagne dans les semaines ou les mois à venir.

Les chercheurs ont souligné que la recherche porte sur les causes fondamentales de l’infertilité et implique l’édition des gènes des embryons qui ne seront pas autorisés à développer au-delà du stade «blastocyste» de sept jours – il sera illégal d’implanter les embryons modifiés dans l’utérus pour créer des bébés GM.

Cependant, si la recherche conduit à une découverte d’une mutation génétique qui pourrait améliorer les chances de grossesses réussies chez les femmes subissant un traitement de fécondation in vitro, il pourrait conduire à une pression pour changer la loi existante pour permettre que l’on appelle « la lignée germinale » édition des embryons et la naissance d’enfants GM.

« Si vous avez trouvé qu’il y avait des gens porteurs d’une mutation spécifique qui signifiait que leurs embryons ne seraient jamais implantés [dans l’utérus], alors vous pourriez envisager d’utiliser la technique d’édition du génome pour faire des changements sur la lignée germinale qui permettrait alors la progéniture de cette femme d’être capable de se reproduire sans avoir de problème « , a déclaré le professeur Robin Lovell-Badge de l’Institut Crick.

Pour David King, directeur du groupe Human Genetic Alert : « Ceci est la première étape d’un chemin que les scientifiques ont pavé vers la légalisation de bébés génétiquement modifiés ».


Nous savons aussi que google est investi dans les recherches sur le transhumanisme.

Le transhumanisme vise aussi à mêler l'homme et la machine.

Lire cet article :
La DARPA envisagerait de créer des soldats-cyborg

Selon le livre The Pentagon’s Brain (le cerveau du pentagone, non-traduit en français) d’Annie Jacobsen, l’agence militaire américaine possèderait un programme visant à installer des puces dans les cerveaux des forces armées américaines afin de créer des super-soldats. Dans son livre, l’auteur soutient la théorie selon laquelle des implants neuroprotétique sont déjà testés par la DARPA.

L’agence, malgré les nombreuses sollicitation d’Annie Jacobsen, a refusé que l’auteur interroge les « soldats blessés au cerveau ». Le programme a en effet aussi pour but selon elle, de tenter de trouver des soins pour les soldats ayant subis des traumatismes lors de combats. Selon elle « sur les 2,5 millions d’américains ayant servi en Irak et Afghanistan, 300 000 sont rentrés avec des traumatismes crâniens. La DARPA a lancé une série de programmes pour aider les fonctions cognitives, pour réparer un peu ces dégâts. Et ces programmes sont centrés autour du concept d’implanter des puces neuronales dans les tissus du cerveau. »

L’année dernière, le magazine Defense One avait annoncé que la DARPA s’intéressait à la conception de puces neuronales pour traiter les troubles de stress post-traumatique chez les soldats. Le magasine a déclaré que « les militaires espèrent avoir un prototype dans les 5 ans à venir et tenteront après d’obtenir les autorisation nécessaires auprès de la FDA. » Pour Annie Jacobsen, ces recherches n’ont pas seulement une importance dans le domaine robotique ou médical, puisque, pour elle « lorsque l’on voit tous ces programmes de cartographie cérébrale, beaucoup de chercheurs se demandent si c’est [ce qu’il fallait] pour franchir les derniers obstacles dans le développement des IA (intelligence artificielle). »

Et encore lire
L'armée américaine a implanté et testé avec succès son premier « modem cortical » sur un sujet animal.
La minuscule puce implantée, développée par l'Agence de défense Advanced Research Projects (Darpa), utilise un petit capteur qui se déplace à travers les vaisseaux sanguins, et se loge dans le cerveau pour enregistrer l'activité neuronale.
Les neurologues ont injecté de minuscules capteurs dans des veines de bétail, puis ont enregistré les impulsions électriques qui contrôlent les mouvements des animaux pendant six mois.

Le stentrode (photo) pourrait permettre à des militaires d'utiliser le « modem cortical » pour manœuvrer des drones. Il a été testé avec succès sur des animaux ce mois-ci.

Le capteur, appelé « stentrode », une combinaison des mots « stent » et « électrode », est la première étape dans la décision de l'armée pour permettre aux soldats de contrôler des machines avec leur esprit.
Hypothétiquement, cela pourrait permettre à des militaires d'utiliser ce « modem cortical » pour manœuvrer des drones.
Le stentrode est de la taille d'un trombone, flexible et injectable. Au lieu d’une chirurgie du cerveau invasive, il pénètre dans le sang par l'intermédiaire d'un cathéter, puis transmet les données. 
« La DARPA a déjà démontré la possibilité de contrôle directe par le cerveau d'un membre prothétique par des patients paralysés équipés de réseaux d'électrodes implantés directement dans le cortex moteur lors d’une chirurgie invasive ouverte traditionnelle du cerveau », a déclaré Doug Weber, le gestionnaire de programme pour RE-NET. 
« En réduisant la nécessité d'une chirurgie invasive, le stentrode peut ouvrir la voie à des implémentations plus pratiques de ces types d'applications avec des interfaces cerveau-machine pouvant changer la vie. »
 »
L'armée américaine a lancé un programme visant à développer des puces implantables qui permettront au cerveau humain de communiquer directement, et avec précision avec des ordinateurs. Les dispositifs convertiraient les informations neurochimiques produites par les cellules du cerveau en un langage binaire numérique utilisé par les ordinateurs

Le mois dernier, la Darpa effectuait sa première présentation de la nouvelle technologie. 
Phillip Alvelda, le responsable du programme Neural Engineering System Design, a déclaré que la technologie vise à surmonter les problèmes rencontrés par les tentatives actuelles de communication entre le cerveau et les ordinateurs.
Bien que ces appareils puissent détecter l'activité électrique du cerveau, ils obligent l'utilisateur à se concentrer et à suivre une formation, afin de produire des signaux spécifiques faciles à détecter.
M. Alvelda a dit : les « meilleurs systèmes d'interface cerveau-ordinateur d'aujourd'hui sont comme deux super-ordinateurs qui essaient de se parler en utilisant un vieux modem à 300 bauds ».
« Imaginez ce qui deviendra possible lorsque nous améliorerons nos outils pour vraiment ouvrir le canal entre le cerveau humain et l'électronique moderne. »
Ce projet pourrait également ouvrir de nouvelles thérapies pour les troubles du système nerveux et même développer des dispositifs qui pourraient aider les aveugles et les sourds.
La Darpa a ajouté que son système auditif ou visuel numérique pourrait être introduit directement dans le cerveau à des résolutions élevées.
Bien que cela puisse aider les patients, il pourrait aussi fournir de nouveaux moyens pour que les soldats reçoivent des informations en temps réel et communiquent sur le champ de bataille.
La plupart des recherches sur les implants cérébraux ont mis l'accent sur la possibilité pour des personnes handicapées de pouvoir contrôler des ordinateurs ou des membres robotiques avec leur cerveau.
Des chercheurs de l'Université Johns Hopkins ont annoncé la semaine dernière qu’un patient avait utilisé un implant qui puise dans les signaux nerveux du cerveau pour déplacer un bras robotisé.
D'autres ont utilisé des électrodes insérées directement dans le cerveau.
Peut-être la technologie d’interface cerveau-ordinateur, la plus courante, consiste dans les électroencéphalogrammes qui captent l'activité électrique du cerveau à travers le cuir chevelu.
Avec une formation, ceux-ci peuvent être utilisés pour déplacer des robots ou même peindre sur un écran d'ordinateur. Ils exigent cependant également des casques disgracieux qui utilisent des capteurs et des gels spécifiques afin de capter l'activité cérébrale.
Le programme de la DARPA, au contraire, veut utiliser un implant qui puise directement dans le cerveau après une intervention chirurgicale

Le tout est toujours drapé par des soit-disant pensées altruistes mais le but final est de transformer l'être humain en le dotant de supers pouvoirs, sortant des voies qu'Elohim nous a commandé de suivre, s'opposant ainsi en tous points à Elohim et à Ses Saints Commandements, modifiant son ADN ou ses organes ajoutant de la machine à l'homme faisant des mutants cybernétiques.

Voilà le monde sans-Torah de demain mais YHWH Elohim notre Roi et notre Seigneur mettra fin à cette folie humaine.

Tenons fermes dans la Foi en ne nous laissant sûrement pas bernés par tout ce monde corrompu.

La dîme dans les églises ?


Au vue de l'incompréhension sur ce sujet de la dîme et des fausses doctrines enseignées sur ce sujet dans beaucoup d'assemblées, un éclaircissement s'impose.

Savoir tout d'abord que la dîme dont il est question dans la Torah de notre Elohim concerne le dixième des récoltes (et non de l'argent) qui doit être être uniquement apportée à Elohim à Jérusalem aux Sacrificateurs et non à quelqu'un d'autre ou alors doit être donnée tous les 3 ans aux pauvres, veuves et orphelins.

La Torah a des règles bien précises et ne peut s'appliquer que suivant ces règles Torahiques bien précises,  contrevenir à ces règles strictes d'application de la Torah équivaut à transgresser la Torah elle-même. 

En effet, bien penser qu'il ne viendrait pas à la pensée de dire aux citoyens d'un pays de faire la justice eux-mêmes contre les voleurs,  les délinquants, criminels... pour se substituer aux tribunaux avec les juges de ces pays etablis selon les lois imparfaites de leurs législations. 

Par exemple concernant le sujet de la condamnation pour un délit, comprendre que cette condamnation ne peut s'appliquer selon le Commandement de la Torah qu'au sein du Tribunal avec ses Juges Israélites en terre d'Israël et nulle part ailleurs. 

Faire sa propre Justice en dehors de ce tribunal est justement condamné par la Torah de notre Elohim,  cela se nomme la vengeance ou se faire justice soit-même.

Donc les croyants en exil qui n'appliquent pas cette sentence en dehors du Tribunal et de ses Juges prévu pour la terre d'Israël sont au contraire soumis à la Torah, ils l'enfreindraient s'ils agissaient autrement.

Pareil pour les Sacrifices, savoir que la Torah nous interdit de sacrifier ailleurs qu'au Temple à Jérusalem, donc étant en exil et sans le Temple,  nous enfreindrions la Torah si nous offrions les sacrifices prescrits en dehors de ces règles Torahique strictes. 

Donc ceux qui n'offrent pas les sacrifices prescrits en dehors du Temple à Jérusalem sont au contraire soumis à la Torah, ils lui obéissent, tout comme le Prophète Daniel qui était en exil à babylone. 

On peut donc ainsi parler des dîmes et des prémices qui ne peuvent être issus que des fruits d'une terre cultivable dont nous tirons notre propre subsistance, ce qui n'est pas le cas pour tous ceux qui vivent en exil et ensuite savoir que ces dîmes et ces prémices ne peuvent être versées qu'aux Sacrificateurs pour Elohim au Temple à Jérusalem ou bien concernant la dîme tous les 3 ans pour les pauvres, les veuves et les orphelins. 

Donc là aussi bien comprendre que verser une dîme ou des prémices en dehors de ces règles Torahique, c'est contrevenir à la Torah concernant les dîmes et les prémices. 

Il n'est bien sûr pas interdit de donner de l'argent ou autres biens aux pauvres, veuves ou orphelins car aider les pauvres, les veuves et les orphelins est un Commandement de la Torah mais cela n'est pas en lien avec la Torah sur les dîmes et les prémices, cela se nomme la tsdeka, l'aumône. 

Bien comprendre que suivre la Torah, c'est suivre la Torah selon Ses Règles, et donc c'est suivre tout ce que nous pouvons suivre de la Torah sans enfreindre ses interdits selon la situation dans laquelle nous sommes en exil. 

Ce que nous ne pouvons pas pratiquer en exil sous peine d'enfreindre la bonne application du Commandement de la Torah tel qu'il doit être appliqué n'est pas une infraction de la Torah mais au contraire une complète observation de la Torah. 

Jacques 4:17
Celui-là donc transgresse la Torah, qui connaît le bien et qui ne le fait pas.


Suivre la Torah, c'est obéir à l'Instruction de YHWH notre Elohim et de notre Seigneur et Sauveur Yéhoshoua.

Les pasteurs qui se servent de l'argument de la dîme pour avoir de l'argent ne sont pas soumis à la Torah et n'ont aucun droit sur cela n'étant absolument pas Sacrificateurs dans le Temple d'Elohim à Jérusalem, ce serait plutôt à eux de verser une dîme tous les 3 ans pour les nécessiteux et non l'inverse.




Ruth Israélite
(mon pseudonyme sur internet)