jeudi 18 février 2016

formatés par babylone


Sortir de babylone c'est en réalité sortir de la pensée de babylone avant toute autre conception matérielle. 

Bien sûr,  il y a des éléments babyloniens à combattre qui sautent aux yeux de beaucoup de croyants comme celui du culte des idoles, certains modes de vie contraires à la Torah... 

Mais il y a d'autres éléments qui peuvent passer beaucoup plus inaperçus car cette pensée babylonienne est souvent plus subtile que nous l'imaginons et ce dans les moindres détails de notre mode de vie.

satan s'est infiltré dans les moindres recoins de telle façon à ce que d'une manière ou d'une autre, il soit mis en avant dans les sociétés et ce même sans que nous nous en doutions.

Juste un exemple parmi tant d'autres pour montrer jusqu'où cela peut aller avec certains mots de notre langue qui sont assimilés dans des régions de notre cerveau, mots qui font partie du mode de pensée de babylone et nous n'y voyons souvent rien à redire lorsque nous parlons tout simplement car nous ne savons pas, preuve que nous avons vraiment été formaté par cette société babylonienne. 

En effet, qui pense en employant le mot "liberté" que ce mot est en réalité une abomination pour Elohim car ce n'est rien d'autre que le nom d'une déesse romaine libertas qui a donné l'existence de ce mot dans les langues latines dont la langue Française. 

libertas ou la liberté, est le nom d'une divinité allégorique romaine. - On la disait fille de jupiter et de junon.  En tout cas, ce nom se rattache à jupiter liber, à liber pater et à libera : c'est donc dans le principe la déesse de la libre jouissance d'une heureuse et insouciante vie. 

Plus tard cette déesse personnifia la liberté du citoyen romain en opposition avec l'esclavage, et plus tard encore la haine des tyrans. 

Elle était représentée sous la figure d'une belle femme, richement vêtue, assez semblable à vénus,  tenant un sceptre à la main, quelquefois une lance, et coiffée du bonnet phrygien, par allusion à la coutume des Romains d'en remettre un à l'esclave qu'ils voulaient affranchir. A ses pieds était un chat, animal ennemi de toute contrainte.

Imaginez alors les versets de la Bible traduits ainsi :
"la Torah de la liberté".

Cela revient à mêler la Torah de notre Elohim avec une déesse tandis qu'Elohim nous a dit ceci :

Torah-Exode 23:13 (Septante)
Observez tout ce que je vous ai dit ; ne gardez point le souvenir du nom des elohim étrangers, qu'on ne l'entende jamais sortir de votre bouche.


Même les traductions de nos Bibles sont empreintes du langage babylonien. 

Nous avons un autre mot, qui est "affranchissement" donc sachant tout cela, utilisons-le en remplacement.

Ou encore, qui se doute que le mot inauguration est "inaugurare" qui est formé de "in" - "dans" et de "augurare" - "prédire".

"Augurare" est lui-même dérivé de "augure" - "prêtre qui fournit des présages, des divinations favorables, c'est-à-dire propre à accroître (augere = augmenter) les entreprises humaines".

Inaugurer, c'est donc remettre le bâtiment (ou tout ce qu'on veut inaugurer) aux bons soins des dieux protecteurs.
Pratiques provenant des idolâtres et dont Elohim nous a dit de nous tenir à l'écart.

Torah-Deuteronome 18:10-11 (Septante)
Il ne se trouvera parmi vous personne qui, pour purifier son fils ou sa fille, les fasse passer par le feu ; qui use de la divination, qui prédise, qui prenne les augures,
tu ne chercheras pas à charmer par des incantations magiques, à devenir sorcier ni interprètes des prodiges, à interroger les morts.


Nous avons plutôt le mot "dédicace" que nous pouvons utiliser en remplacement qui vient de l'Hebreu 'Hannouka et qui doit toujours être réservée pour Elohim. 

Et encore, lorsque vous éternuez, ne vous a t-on jamais dis
"À vos souhaits" ou ne l'avez-vous jamais dis par automatisme sans même savoir quelle en est la source ?

Autrefois, le fait d’éternuer était interprété comme un bon ou un mauvais signe, en fonction des circonstances : selon la position de la lune, selon qu’il faisait jour ou nuit, etc.

Lorsque l’on éternuait et que les signes étaient négatifs, les peuples de l’Antiquité disaient "que jupiter te conserve" 

L’éternuement était souvent associé à la maladie et au mauvais sort. Certaines personnes croyaient que l’âme pouvait quitter le corps pendant l’éternuement. D’autres disaient que l’éternuement était provoqué par l’expulsion d’un démon hors du corps, ou encore que le diable pouvait entrer par la bouche.

Pour se protéger, les gens mettaient la main devant la bouche quand ils bâillaient, et cette coutume est restée.

Parfois l’éternuement était aussi vu comme un signe de chance. Ainsi, les Grecs pensaient que le fait d’éternuer révélait la présence d’un esprit divin, auquel on pouvait adresser des voeux.

Tout cela pour montrer que dans les moindres recoins de nos habitudes,  babylone est là. 

Cette société dans laquelle nous vivons nous a très souvent enseigné des critères du bien et du mal qui ne correspondent pas avec les critères d'Elohim dans Sa Sainte Torah. 

Seul Elohim peut remodeler notre esprit mais il faut pour cela avant tout nous humilier devant Lui avec un coeur repentant.