origine abominable des jeux olympiques
et autres compétitions sportives
et autres compétitions sportives
Il nous faut pleinement réaliser dans quel monde nous vivons sans nous leurrer et sans nous laisser entraîner par l'euphorisme collectif que nous propose ce monde en matière de loisirs et de distractions dont les compétitions sportives font pleinement partie, comprendre les JO et autres compétitions sportives comme le foot, tennis, super ball, basket ball, ect...
Ne croyons pas que ces compétitions sportives auxquelles nous assistons dans les mass-medias ne seraient juste que le fruit de notre époque, non, tout ce système sportif est en réalité calqué sur la pensée du monde Greco-Romain et de ses jeux.
Il vous suffit de regarder par exemple les constructions des stades de foot et des JO, sur quel modèle ces stades reposent-ils ? Sur celui des arènes romaines.
De plus, tout ce qui tourne autour de ces sports est affilié au culte des sportifs, nous entendons que ceux-ci sont aussi nommés les dieux du stade.
Regardez bien tout ce qui accompagne ces compétitions sportives, des beuveries, des coucheries et même des violences, tous ces jeux alimentent les sentiments les plus vils des supporters avec ces jeux qui encouragent cet esprit festif malsain.
Les romains avaient un slogan "du pain et des jeux" nous en sommes toujours rendu à ce slogan.
Car toutes ces sociétés ayant banni Elohim de leur vie et de leur centre d'intérêt projettent leurs occupations vers des médailles futiles liées pour la plupart à des divinités Grecques ou Romaines.
C'est pourquoi l'Apôtre Paul loin de flatter les jeux païens se placera allégoriquement en opposition à ceux-ci en disant qu'il ne court pas la même course que ceux qui courent dans ces stades païens pour une couronne corruptible tandis que lui court pour une couronne incorruptible.
Pour vous prouver ce que j'avance, commençons par évoquer les jeux olympiques dont le port de la flamme olympique fait souvent parler avant le début des JO.
Beaucoup ignorent que le culte rendu au faux dieu apollon qui je le rappelle était un des anges déchus qui allèrent avec des femmes des hommes, est toujours rendu dans les jeux modernes des JO.
En effet, la chorégraphie et les costumes de la cérémonie actuelle s’inspirent du culte idolâtre de l’Antiquité.
Dans la Grèce antique, le feu brûlait en permanence dans les sanctuaires païens grecs, son allumage étant réalisé par un miroir parabolique, le skaphia, qui concentrait les rayons du soleil.
Au sanctuaire d’olympie qui accueillait les Jeux olympiques antiques, une flamme brûlait en permanence sur l’autel de l’héraion, temple d'héra divinité païenne.
De même une flamme était placée au milieu des sites sportifs et du banquet offert dans le prytanée aux vainqueurs des Jeux.
La flamme actuelle des jeux olympiques modernes est toujours allumée de la même manière aujourd'hui au cours d'une cérémonie par des femmes, jouant le rôle de prêtresses d'héra, vêtues de tuniques similaires à celles portées par les Grecs de l'Antiquité comme sur ces photos.
La cérémonie se déroule, plusieurs mois avant le début des Jeux, sur les ruines du temple d'héra à olympie, en Grèce, à l'aide de rayons du soleil concentrés par un miroir parabolique (par précaution, s'il n'y a pas de soleil le jour de cette cérémonie officielle, la flamme est allumée selon le procédé antique du miroir, plusieurs jours avant, un jour de soleil).
Et toujours sur le même modèle que celui de la cérémonie ancestrale, ces prêtresses aujourd'hui, invoquent apollon autour de l'autel comme vu sur les photos au dessus.
La flamme est alors placée dans une urne en céramique qui est transportée dans l'ancien stade d'olympie au cours d'une procession qui passe devant un olivier sauvage dont un rameau, symbole de paix et récompense du vainqueur des jeux, est coupé.
La grande prêtresse allume la torche et la remet au premier relayeur. Plusieurs autres relayeurs la transportent jusqu'au Stade panathénaïque qui a accueilli les jeux olympiques d'été de 1896.
Le comité olympique hellénique qui avait la responsabilité des relais jusqu'à ce stade passe lui-même le relais au comité d'organisation des jeux olympiques du pays hôte.
Chaque participant (sélectionné en raison de son « accomplissement personnel » ou de sa contribution à la vie locale) porte ensuite le plus souvent à pied la torche ou le flambeau olympiques (ou leurs répliques) sur une courte distance et la remet à un autre porteur. Le relais de la flamme olympique prend fin lors de la cérémonie d'ouverture des jeux au cours de laquelle traditionnellement le dernier porteur, généralement un champion ou un jeune sportif du pays organisateur des jeux, allume de façon spectaculaire et originale avec sa torche une vasque ou un chaudron monumental, lequel brûle pendant toute la durée des jeux. Le choix de ce dernier porteur est en principe gardé secret jusqu'à la dernière minute.
La flamme est finalement éteinte lors de la cérémonie de clôture finale.
Donc sachez que les JO reposent sur une abomination aux yeux d'Elohim, ce cérémoniel étant toute la raison d'être de ces jeux.
Ensuite parlons de toutes ces activités sportives des JO.
L'hitoire Grecque dit qu'héraclès après avoir accompli ses douze travaux, construisit le stade olympique ainsi que les bâtiments alentours en l'honneur de son père zeus qui est un des anges déchus qui alla avec des femmes des hommes.
Il aurait également défini la longueur du stade olympique en l'arpentant avec la longueur de son pied en avançant de 600 pas.
La encore heracles était donc un des géants fils des angesav déchus décrit dans le Livre d'Hénok.
Les premiers jeux olympiques connus sont réputés pour avoir pris place en 776 av. J.-C. sur l'initiative d'iphitos, roi d'Élide.
Cette année marque le début du calendrier olympique, selon lequel les années sont regroupées en olympiades, et l'an 1 du calendrier grec adopté en 260 av. J.-C.
Toutefois, il est probable que les jeux aient été encore plus anciens, compte tenu de l'abondance des offrandes de l'époque géométrique retrouvées à olympie.
Donc les Israélites entourés par les nations païennes connaissaient bien ces pratiques païennes des JO et les justes dans la Foi rejettaient ces JO.
Les Jeux gagnèrent en importance dans toute la Grèce antique, mais il existe près de 300 réunions sportives du même type, les agônes. On passe à plus de 500 sous l'Empire romain.
Les jeux olympiques forment, avec les jeux pythiques, les jeux néméens, et les jeux isthmiques, un cycle des jeux religieux païens dont l'un revient chaque année.
L'athlète qui gagne des prix à ces quatre jeux panhelléniques est désigné par le titre de « periodonikes », le vainqueur du « grand chelem » du sport grec.
Le programme des compétitions comprend des épreuves hippiques (chars à deux ou quatre chevaux) et des épreuves athlétiques dites de gymnastique (course à pied sur plusieurs distances, lancer du disque, saut en longueur, lancer du javelot, pentathlon], lutte, pugilat et pancrace). Disque, longueur et javelot ne donnent pas de titre olympique, mais font partie des cinq épreuves du pentathlon avec la course du stade et la lutte.
À partir de la septième olympiade (752 av. J.-C.), le champion olympique reçoit une couronne d’olivier sauvage, une branche de palmier et un ruban de laine rouge appelé la tænia. Le Messénien Daikles est le premier champion olympique honoré ainsi.
Aujourd'hui les champions olympiques reçoivent une medaille en or, argent ou bronze sur laquelle se trouve le déesse de la victoire des JO représentée ci-dessous :
Cette déesse est représentée sur chaque médaille à chaque JO.
Et savez-vous comment elle se nomme ?
"nike"
La fameuse marque connue d'habits de sport.
Tous ces gens travaillant dans le marketing de ce monde corompu se réjouissent de manipuler les masses ignorantes les faisant adhérer aux idoles à leur insu se servant des populations comme de véritables panneaux publicitaires pour ces cultes abominables.
Les coupes trophées reçus dans les compétitions de football sont issus des récompenses que les grecs donnaient à ses champions sportifs dans l'antiquité, les recompenses pouvaient être des amphores remplies d'huile dédiée à leurs faux dieux puis cela a été remplacé par des coupes.
Savoir aussi que le trophée était lié aux conquêtes guerrières ou les vainqueurs exposaient en trophée les cadavres de leurs ennemis ou bien leurs armes dont aussi des boucliers, voici d'où vient le trophée bouclier dans le rugby.
Mais continuons en parlant du nom des jeux qui se nomment "olympiques".
l’altis (en grec ancien Ἀλτις), un bois sacré païen où poussaient des arbres, qui semblait avoir été occupé de manière continue depuis le début du IIIe millénaire av. J.‑C., et dans lequel se trouvait, enfoui au beau milieu, l'autel de zeus. Celui-ci succédait à un temple construit en l'honneur de la déesse héra.
Sur ce site fut construit le centre religieux d'olympie, un mur d’enceinte, le « temenos » délimitant l’espace de l’altis, de l’espace profane.
Cette enceinte, de forme à peu près carrée, s'étendait entre les fleuves alphée et cladéos ; on y trouvait les temples d'héra, de zeus et l'alignement des trésors, ainsi que l'autel de zeus.
Olympe est l'endroit connu dans l'histoire grecque comme étant celui habité par ce que nous savons être les anges déchus qui allèrent avec des femmes des hommes et qui engendrerent ces géants que les grecs nommaient des demi-dieux qui sont des démons.
Les Grecs pour des raisons de pratique exerçaient leurs sports dans les stades entièrement nus pour ne pas être gênés par les habits, de même aujourd'hui bien que les sportifs soient un peu plus couverts ne sont recouverts que d'une seconde peau dans plusieurs diciplines avec leurs tenues courtes et moulantes, toujours pour des raisons pratiques de vitesse, ect... ils délaissent donc aussi leur pudeur en raison de leur attachement à leur discipline, car revoir ce qu'est un vêtement pudique dans la Sainte Torah.
Torah-Jubilés 3:28-30
Et Il (Elohim) renvoya du jardin d’Éden toute chair qui était dans le jardin d’Éden et toute chair fut dispersée selon leurs espèces et selon leurs classes à des endroits qui furent créés pour eux. Et de toutes les bêtes et bétail.
À Adam seul Il donna [le moyen] de couvrir sa honte.
À ce sujet il est prescrit dans les tablettes célestes touchant tous ceux qui connaissent le jugement de la Torah qu’ils doivent couvrir leur honte et ne doivent pas se découvrir comme les nations se découvrent.
Hérode fit construire aussi un stade en Israël ce qui indigna justement des Juifs croyants car ils savaient bien que tous ces jeux sont abominables pour Elohim.
Hérode par ce geste fonctionna avec la même pensée d'orgueil que toutes les nations qui s'enorgueillisent de tous ces événements sportifs voulant exister aux yeux des autres à travers ses sportifs.
Car malheureusement, certains sont plus attachés à la gloire des hommes qu'à la Gloire d'Elohim, quelle folie !
Notons ce point qu'un sport en tant que tel comme par exemple taper dans un ballon peut être anodin et n'avoir rien de mal en lui-même mais le système païen qui l'entoure faisant de ce jeu une compétition collective imposant ses règles anti-Torahique à ses compétiteurs et à ses spectateurs est totalement corrompu et donc un croyant ou croyante Israélite en Yehoshoua ne peut prendre part à ce système soit par une participation en tant que sportif ou en tant que spectateur participatif tels des supporters finançant tout ce système et participant à cet esprit festif malsain relié avec un état d'esprit démoniaque.
Toutes ces compétitions sont sous l'égide de nations qui vouent un culte au sport et en font un événement idolâtre tout comme cela était le cas dans l'antiquité.
L'etat d'esprit qui anime le monde sportif est le même aujourd'hui que ce qu'il était dans l'antiquité, ne vous leurrez pas, satan régit tout cela car tous les organisateurs de ces compétitions sont à son service.
Ésaïe 52:11
Partez, partez, sortez de là ! Ne touchez rien d’impur ! Sortez du milieu d’elle ! Purifiez-vous, Vous qui portez les vases de YHWH !
2 Corinthiens 6:18
C’est pourquoi : Sortez du milieu d’eux ; Et séparez-vous, dit YHWH ; Ne touchez pas à ce qui est impur, Et Moi, Je vous accueillerai. Je serai pour vous un Père, Et vous serez pour moi des fils et des filles, Dit YHWH Tout-Puissant.